par Lazuli » 13 nov. 2015, 02:09
Les bourrasques qui projettent le sable en tourbillon dans le désert, le long des remparts de Balamoun et même dans les rues de la ville ne cessent pas...
Au contraire, le temps passe et elles ne font que s'intensifier.
La brise qui n'était jusqu'alors qu'étrange se meut en soufflant en un vent inquiétant et parfois gênant lorsque, exposé à la colère de la nature, le passant malheureux se trouve forcé de se couvrir le visage de ses bras pour protéger ses yeux et sa bouche du sable.
Mais ce phénomène est-il vraiment naturel ?
Entre les habitations les plus serrées, on entend le vent siffler en s'engouffrant, voix glaciale annonciatrice de malheur. Les volets claquent, les portes tremblent et les fenêtres mal fermées s'ouvrent brusquement, renversant dans leur mouvement les objets trainant sur les rebords.
Le vent parvient même à s'immiscer jusqu'au palais, s'infiltrant par quelques aérations pour aller agiter la robe du Grand Vizir et des gens présents dans la salle du trône.
La situation n'est évidemment pas meilleure en dehors des murs de la Cité. Où que l'on soit dans le désert le temps s'obscurcit, non de brouillard comme dans les pays humides du Sud, mais bien d'un nuage de sable qui recouvre tout, d'une frontière à l'autre du désert : Du pied des montagnes jusqu'au rivage de l'Océan en passant par les quelques plaines et les quelques arbres qui encadrent la mer de Sable.
Quelle que puisse être la cause de ce phénomène, il ne sera bientôt plus très avisé de rester dehors par ce temps qui laisse présager d'une des plus grosse tempête de sable de mémoire d'homme...
Les bourrasques qui projettent le sable en tourbillon dans le désert, le long des remparts de Balamoun et même dans les rues de la ville ne cessent pas...
Au contraire, le temps passe et elles ne font que s'intensifier.
La brise qui n'était jusqu'alors qu'étrange se meut en soufflant en un vent inquiétant et parfois gênant lorsque, exposé à la colère de la nature, le passant malheureux se trouve forcé de se couvrir le visage de ses bras pour protéger ses yeux et sa bouche du sable.
Mais ce phénomène est-il vraiment naturel ?
Entre les habitations les plus serrées, on entend le vent siffler en s'engouffrant, voix glaciale annonciatrice de malheur. Les volets claquent, les portes tremblent et les fenêtres mal fermées s'ouvrent brusquement, renversant dans leur mouvement les objets trainant sur les rebords.
Le vent parvient même à s'immiscer jusqu'au palais, s'infiltrant par quelques aérations pour aller agiter la robe du Grand Vizir et des gens présents dans la salle du trône.
La situation n'est évidemment pas meilleure en dehors des murs de la Cité. Où que l'on soit dans le désert le temps s'obscurcit, non de brouillard comme dans les pays humides du Sud, mais bien d'un nuage de sable qui recouvre tout, d'une frontière à l'autre du désert : Du pied des montagnes jusqu'au rivage de l'Océan en passant par les quelques plaines et les quelques arbres qui encadrent la mer de Sable.
Quelle que puisse être la cause de ce phénomène, il ne sera bientôt plus très avisé de rester dehors par ce temps qui laisse présager d'une des plus grosse tempête de sable de mémoire d'homme...