par Azelun » 09 oct. 2004, 17:22
Peut être que l'éclat avait fait trop grand bruit, la violence
des mots et des insultes, la violence d'une vie ou d'une
volonté d'être, d'exister et d'être... Libre, qui attira
alors une douce mélopée. Les plus atttentifs, curieux ou
surpris par les paroles qu'ils entendirent pure ainsi
comprendre ce qui accompagnait ces notes :
Une colombe nommée Abyssa
Les vitraux de la sainte chapelle clignotèrent
D'ombres furtives cachant les rais d'astre solaire.
L'une d'elle se figea, trahit galbe de ses formes
Et rassuré j'ai pu attendre que je m'endorme
En ces chemins oniriques je l'ai rencontré
Éthérée, charmante âme qui venait assister
Grand désespoir de ne pouvoir me libérer
D'une emprise arcanique sans issue et sans clef
Délicate colombe
Ai-je pensé alors
En ce rêve je retombe
La retrouver encore
Telle est l'image de cette dame dont je raconte
L'histoire, mêlée à celle de ce monde, qui remonte
A sa genèse alors qu'aventuriers se comptent
En faible nombre et rejoint Orlanh, le comte
Telle une mer d'huile apaisante elle démontre fureur
Face à dragon meurtrier et souffle ravageur
D'une force d'antan supportent les malheurs
D'obscures geôles et d'un être perdu cher à son cœur
Colombe immaculée
En mémoire rappelée
Vole en ciel azuré
Et ravi mes pensées
Témoin sans jugement de frasques de ménestrel
Elle embellit l'ouvrage accomplit d'un sourire naturel,
Flottant léger et merveilleux presqu'éternel
Elle s'envole sous d'autres cieux mais reste fidèle
Est-ce vraiment voleteux oisel en ces lieux ?
Ne manie-t-elle pas magie et art mystérieux ?
Apprenez que sa grande puissance provient des cieux
Et que sa grande vigueur de milieux aqueux.
Ne vous m'éprenez pas
Sur les paroles d'un barde
Se fiant à son émois
Et restez sur vos gardes...
Libre, libre souhaitait elle ainsi vivre heureuse
Quêtant sans relâche des raisons d'être, languissante
Des amours perdues ou de valeurs moins brumeuses
L'Impie la repoussa, la vie se fit lassante
Aveuglement certains ?
Insipide destin ?
Nouvelle voie d'entrain ?
Or donc sans lendemain...
Elle fut terrible et ardente dans une vie d'honneur
Elle fut perdue et esseulée dans la douleur
Sombrant dans sa folie, mais même alors resta
Sa digne fierté ainsi choisit, l'au delà...
Vole Vole Liberté
Colombe immaculée
Refusant les Honneurs
Repoussé par Noirceur...
La mélopée se tut alors et seul encore devait résonner l'éclat du Jugement de Furrinus...
Peut être que l'éclat avait fait trop grand bruit, la violence
des mots et des insultes, la violence d'une vie ou d'une
volonté d'être, d'exister et d'être... Libre, qui attira
alors une douce mélopée. Les plus atttentifs, curieux ou
surpris par les paroles qu'ils entendirent pure ainsi
comprendre ce qui accompagnait ces notes :
Une colombe nommée Abyssa
Les vitraux de la sainte chapelle clignotèrent
D'ombres furtives cachant les rais d'astre solaire.
L'une d'elle se figea, trahit galbe de ses formes
Et rassuré j'ai pu attendre que je m'endorme
En ces chemins oniriques je l'ai rencontré
Éthérée, charmante âme qui venait assister
Grand désespoir de ne pouvoir me libérer
D'une emprise arcanique sans issue et sans clef
Délicate colombe
Ai-je pensé alors
En ce rêve je retombe
La retrouver encore
Telle est l'image de cette dame dont je raconte
L'histoire, mêlée à celle de ce monde, qui remonte
A sa genèse alors qu'aventuriers se comptent
En faible nombre et rejoint Orlanh, le comte
Telle une mer d'huile apaisante elle démontre fureur
Face à dragon meurtrier et souffle ravageur
D'une force d'antan supportent les malheurs
D'obscures geôles et d'un être perdu cher à son cœur
Colombe immaculée
En mémoire rappelée
Vole en ciel azuré
Et ravi mes pensées
Témoin sans jugement de frasques de ménestrel
Elle embellit l'ouvrage accomplit d'un sourire naturel,
Flottant léger et merveilleux presqu'éternel
Elle s'envole sous d'autres cieux mais reste fidèle
Est-ce vraiment voleteux oisel en ces lieux ?
Ne manie-t-elle pas magie et art mystérieux ?
Apprenez que sa grande puissance provient des cieux
Et que sa grande vigueur de milieux aqueux.
Ne vous m'éprenez pas
Sur les paroles d'un barde
Se fiant à son émois
Et restez sur vos gardes...
Libre, libre souhaitait elle ainsi vivre heureuse
Quêtant sans relâche des raisons d'être, languissante
Des amours perdues ou de valeurs moins brumeuses
L'Impie la repoussa, la vie se fit lassante
Aveuglement certains ?
Insipide destin ?
Nouvelle voie d'entrain ?
Or donc sans lendemain...
Elle fut terrible et ardente dans une vie d'honneur
Elle fut perdue et esseulée dans la douleur
Sombrant dans sa folie, mais même alors resta
Sa digne fierté ainsi choisit, l'au delà...
Vole Vole Liberté
Colombe immaculée
Refusant les Honneurs
Repoussé par Noirceur...
La mélopée se tut alors et seul encore devait résonner l'éclat du Jugement de Furrinus...