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* Dumglin charge immédiatement les créatures marines.
Sous l'effet de surprise, il réussi à mettre à terre une première sirène en deux puissants coups de hache.
Sans attendre la réaction de sa voisine, il assomme une deuxième sirène déjà bien blessée d'un seul coup de hache.
Enfin, dans le même mouvement, il blesse profondément un requin qui passait trop près de lui. *

" Arhh ! C'était pas le moment pour venir faire du tourisme les poiscailles ! Je vais enfin pouvoir me dérouiller !

Berkam, comme je ne voudrais pas vous froisser et que je suis quand même sur votre île, je ne m'occupe pas d'achever les blessés sauf si vous me le demandez.
De toute façon y'a déjà assez de boulot à mettre hors d'état de nuire toutes ces créatures."

Impassible, ce vivant à la fois étrangé et connu de l'océan regarde ce qui se passe sans pour autant vraiment ce lancer à l'assaut tête baissé du combat qui fait rage avec, pour ainsi dire, autant de force que la tempête.

Ces êtes ne sont pas à la bases ses ennemis, pourtant leur corps dénaturés par les ténèbres et leur agressivité à l'égard de ses alliés ne peuvent le laisser de marbre.

L'ArchiDruide n'est pas venu sur l'océan pour combattre mais bien pour accomplir deux rituels. Ces offrandes faites c'est avec un certain empressement qu'il souhaite retourner sur le continent mais pourtant une puissante tempête qui avait débutée dès lors qu'il avait posé le pied sur la Nef de Phargonis l'empèchait de repartir. Étrange coincidance ou peut-être une simple coincidance... Des prémices de combat, un symbole divin indiquant que d'étrange phénomène s'annonçait... L'Elf de la forêt, jadis l'Elf Gris, n'a pour autant qu'une parole et il avait juré par le passé qu'il fournirait son aide à ses frères de l'océan si aide était nécéssaire.

Passif mais également des plus efficaces, l'ArchiDruide n'invoque ses pouvoirs que contre ceux qui attaque directement les prêtres de Phargonis.
L'Alliance de la terre et du ciel est pour le moins des plus contraste mais tellement efficace...

De puissants loups alliés du druide blessèrent avec sévérité l'une des sirène qui avait jeté un sort au prêtre Berkam, cette même sirène mise à terre par les pouvoirs de la Grande Prêtresse Cyrielle...

Pourtant même si ces créatures dénaturé par les ténèbres le répugne, l'Élu de la Déesse Mère ne peut se convaincre de mettre fin à leur Vie, laissant la le soin aux autres de s'en occupé : Ce dont un jeune inconnu semblait a toute évidence y prendre un malin plaisir de manière presque insultante pour l'ArchiDruide...

La sirène mise à mort, puis cette gigantesque et impresionnante créatures appelé le Swod, Kelh'Gara tente au mieux de ce détacher de ce combat. Un requin bleu tombe également à son tour...

Les assauts d'un prêtre de Kain et d'une forgeronne semble pour le moins se montrer des plus efficaces : après tout bien d'autre gens combattait avec plus de ferveur que le druide qui lui combattait pour combler son seul désire que de protèger les membres du clergé de Phargonis...

L'ArchiDruide concentre à nouveau ses énergies pour appeller d'autre créatures à l'aide tandis que les requins s'en prennent à Dame Cyrielle et aux autres... C'est avec une grande agilité et efficacité que deux grands albatros arrivent sur l'arène qu'est devenu le port, agrippant, emmenant vers les cieux et laissant retomber sur le sol un squale dénaturé et assomé... Blessant également péniblement un autre requin, tout comme les loups ces oiseaux impresionnant disparaissent avec autant d'agilité que leurs égaux terrestres...

Kelh'Gara, sans montrer la moindre agressivité regarde alors la suite des évènements : il savait que cette attaque n'était que la prémice d'un assaut de plus grande ampleur et il se demandait bien quel créatures avide de meutre et de violence oserait lever la main contre ses alliés, le poussant ainsi à agir tout aussi, voir beaucoup plus efficacement que les créatures qui avait mis pied sur le bois du port...

"Figé.
Son regard clair de glace ne cille pas , plongé , perdu dans celui de la sirene. Les traits de son visage sont immobiles , dessinant les courbes d'une expression encore inconnue de ses proches.
Sa lame reste droite mais ne bouge pas.
La haut , la pluie , le vent et les sarcasmes d'une odieuse magie , s'abattent sur la place , laissant le combattant des mers , de marbre.
... Sur ses pales traits une envie noire et profonde , un desir refoulé creusent encore un peu plus son expression demente alors qu'il fixe , immuable , la sirene. Ivre et las d'encore et d'encore ... "