par Heldrik, intendant à 2 po » 19 juin 2004, 23:10
[Heldrik se gratte l’arrière du crane.]
Mais comment qui f’sait l’Taram’ ?
[soupire-t-il. Il va de groupe en groupe, usant de ses vociférations habituelles sur ceux qui lambinent, mais aussi de bourrades amicales et de félicitations pour ceux qui travaillent d’arrache-pied]
Bravo les gars, vous bossez bein, ouais vraiment du bon boulot ça, Taram’ aurait été fier d’vous !
Nan, là-bas, les aminches c’est pas l’moment d’la pause, vous voulez qu’Sancte soit finie ou pas ? ! Allez foutredieu, du nerf !
[Il reste sur les chantiers, tourne un peu, l’œil aux aguets et attend les rapports de construction. Il demande aux chefs des différents groupes, l’air de rien, ce qu’il pensent de leur équipe, ainsi que leurs idées pur améliorer la productivité.
Heldrik joue au contremaitre parfait, fait semblant de réfléchir et lance deux trois propositions en l’air avant de se rallier à ce que lui disent ces pros, qui savent, eux.
Il fait d’une pierre deux coup (Monolithoambiplégie) : il apprend le métier, comment gérer des hommes et une construction d’ensemble, et se met les chefs de chantier dans la poche en leur élargissant leur marge de manoeuvre et en les écoutant.]
Chui dans la forge si vous m’cherchez les gars !
[crie-t-il avant de disparaître dans l’embrasure de la porte et d’activer le feu.
[Heldrik se gratte l’arrière du crane.]
Mais comment qui f’sait l’Taram’ ?
[soupire-t-il. Il va de groupe en groupe, usant de ses vociférations habituelles sur ceux qui lambinent, mais aussi de bourrades amicales et de félicitations pour ceux qui travaillent d’arrache-pied]
Bravo les gars, vous bossez bein, ouais vraiment du bon boulot ça, Taram’ aurait été fier d’vous !
Nan, là-bas, les aminches c’est pas l’moment d’la pause, vous voulez qu’Sancte soit finie ou pas ? ! Allez foutredieu, du nerf !
[Il reste sur les chantiers, tourne un peu, l’œil aux aguets et attend les rapports de construction. Il demande aux chefs des différents groupes, l’air de rien, ce qu’il pensent de leur équipe, ainsi que leurs idées pur améliorer la productivité.
Heldrik joue au contremaitre parfait, fait semblant de réfléchir et lance deux trois propositions en l’air avant de se rallier à ce que lui disent ces pros, qui savent, eux.
Il fait d’une pierre deux coup (Monolithoambiplégie) : il apprend le métier, comment gérer des hommes et une construction d’ensemble, et se met les chefs de chantier dans la poche en leur élargissant leur marge de manoeuvre et en les écoutant.]
Chui dans la forge si vous m’cherchez les gars !
[crie-t-il avant de disparaître dans l’embrasure de la porte et d’activer le feu.