par Calypso » 22 juin 2011, 17:47
C'est un vent habituel qui se met à souffler sur la place de boisdoré.
Loin de sentir les fleur et le printemps, d'un seul coup, il y a comme
une odeur de froid et de haute cime.
Comme un échos, le ciel se couvre sur le pays du printemps éternel. De
lourds nuages menaçants, sombres, froids....
C'est alors qu'arriva une chose que peu de monde pouvait se targuer
d'avoir déjà vu. Seules les plus vieilles mémoires, ou ceux qui
avaient l'habitude de voyager, purent reconnaitre se qui se mit à
tomber.
Aussi délicats que la dentelle la plus fine, plus fragile que le
nouveau né, aussi éphémère et pourtant bien plus inquiétant, des
flocons de neige tombèrent doucement sur Boisdoré.
Le sol absorba bien vite cette humidité étrange, mais les flocons se
mirent à tomber plus drus, et le sol bien vite, ressembla aux monts du
monastère, aussi blancs et aussi froids.
C'est un vent habituel qui se met à souffler sur la place de boisdoré.
Loin de sentir les fleur et le printemps, d'un seul coup, il y a comme
une odeur de froid et de haute cime.
Comme un échos, le ciel se couvre sur le pays du printemps éternel. De
lourds nuages menaçants, sombres, froids....
C'est alors qu'arriva une chose que peu de monde pouvait se targuer
d'avoir déjà vu. Seules les plus vieilles mémoires, ou ceux qui
avaient l'habitude de voyager, purent reconnaitre se qui se mit à
tomber.
Aussi délicats que la dentelle la plus fine, plus fragile que le
nouveau né, aussi éphémère et pourtant bien plus inquiétant, des
flocons de neige tombèrent doucement sur Boisdoré.
Le sol absorba bien vite cette humidité étrange, mais les flocons se
mirent à tomber plus drus, et le sol bien vite, ressembla aux monts du
monastère, aussi blancs et aussi froids.