par Mauvais plaisantin » 22 mars 2012, 14:14
Perplexe, elle pouvait l'être, savait-elle seulement déchiffrer cette langue ancienne et oubliée ? Et qui pouvait être l'auteur du trait qui avait manqué de l'éborgner ? A la vérité, les dieux seuls le savaient. Et le mystérieux auteur sus-mentionné. Au loin, il n'y avait guère que le chant moqueur des oiseaux pour lui répondre.
Toute à ces considérations théologico-métaphysiques, l'insouciante ne prit d'abord pas garde au grondement qui naissait derrière elle. Très vite cependant, le roulement prit une telle ampleur, une telle profondeur, que la surdité n'eût pas suffit à l'ignorer davantage. Des chocs sourds et répétés se succédaient, accompagnés par de sinistres craquements. Enfin, dans un fracas de fin du monde, un énorme rocher surgit d'entre les arbres, arrachant sur son passage les fragiles buissons qui avaient eu l'effronterie de se trouver sur sa trajectoire, et vint percuter avec une violence inouïe, les deux siècles d'un massif chêne qui se trouvait là.
Des éclats d'écorce fusèrent, un épais nuages de poussières et de terre enveloppa un moment la scène...
Un pas. La survie de Soline se résumait à cette ridicule distance, un pas. Et profondément gravé dans la pierre, un unique mot était lisible, à condition de se mettre la tête à l'envers : "Bienvenue".
Qui pouvait être l'auteur du rocher qui avait manqué de la pulvériser ? A la vérité, les dieux seuls le savaient. Et le mystérieux auteur sus-mentionné. Au loin, les oiseaux s'étaient tus, un silence pesant s'était installé.
HJ : c'est dégueulasse, je ne peux pas utiliser le BBCode si je ne suis pas connecté (considérez que c'est en italique^^)

Perplexe, elle pouvait l'être, savait-elle seulement déchiffrer cette langue ancienne et oubliée ? Et qui pouvait être l'auteur du trait qui avait manqué de l'éborgner ? A la vérité, les dieux seuls le savaient. Et le mystérieux auteur sus-mentionné. Au loin, il n'y avait guère que le chant moqueur des oiseaux pour lui répondre.
Toute à ces considérations théologico-métaphysiques, l'insouciante ne prit d'abord pas garde au grondement qui naissait derrière elle. Très vite cependant, le roulement prit une telle ampleur, une telle profondeur, que la surdité n'eût pas suffit à l'ignorer davantage. Des chocs sourds et répétés se succédaient, accompagnés par de sinistres craquements. Enfin, dans un fracas de fin du monde, un énorme rocher surgit d'entre les arbres, arrachant sur son passage les fragiles buissons qui avaient eu l'effronterie de se trouver sur sa trajectoire, et vint percuter avec une violence inouïe, les deux siècles d'un massif chêne qui se trouvait là.
Des éclats d'écorce fusèrent, un épais nuages de poussières et de terre enveloppa un moment la scène...
Un pas. La survie de Soline se résumait à cette ridicule distance, un pas. Et profondément gravé dans la pierre, un unique mot était lisible, à condition de se mettre la tête à l'envers : "Bienvenue".
Qui pouvait être l'auteur du rocher qui avait manqué de la pulvériser ? A la vérité, les dieux seuls le savaient. Et le mystérieux auteur sus-mentionné. Au loin, les oiseaux s'étaient tus, un silence pesant s'était installé.
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