par Orage » 14 oct. 2012, 10:24
Sur les quais de la ville la fête battait son plein tandis que la course
n'allait pas tarder à commencer.
L'équipage de la dernière pirogue prit enfin place à bord et rejoignit les
autres au milieu du fleuve.
Chacune des cinq équipes en lice arboraient un couvre chef différent, il y avait
des calots jaunes, des bandeaux bleus, des couronnes de feuille de palmier, des
turbans rouge et des bandana noir.
Tandis que les pirogues se mettaient en place une masse incroyable d'embarcation
de toute les tailles se pressait sur le fleuve pour assister à la course. Il y
eu bientôt autant de monde sur le fleuve que sur les quais. Il fallut donc un
certain temps pour ordonner ce joyeux désordre et aménager une voie sur l'eau
suffisamment grande pour que la course est lieu.
Une tension presque palpable parcourut la foule alors que les pirogues étaient
parfaitement alignées et convenablement espacées entre elles. De toute part
fusaient des encouragement pour telle ou telle équipe, des cris et des
sifflets.
Les rameurs dans les pirogues étaient à présent immobiles, la pagaie dans l'eau,
prêts.
La clameur de la populace se fit plus discrète comme si tous voulait mieux
entendre le signal du départ.
Sur une large barge placée sur les côtés des cinq concurrents un homme en tenue
d'apparat s'avança en évidence. Il porta à sa bouche une conque et à plein
poumon souffla !
Le son profond résonna avec une telle force que tous sentirent les vibrations
tandis que les cinq pirogues de concert s'élancèrent.
Arrachant à l'immobilité leur embarcations effilées par la force pure et la
précision de leur mouvements cadencés les rameurs glissèrent sur l'eau avec une
vitesse croissante.
Les rameurs donnaient tout ce qu'ils avaient, leurs mouvements étaient
coordonnés afin d'optimiser la vitesse donnant l’impression que vingt hommes
agissaient comme un seul. Certaine équipe avaient un barreur qui imposait le
rythme a son équipe par ses cris.
Rapidement un écart se creusa. Une pirogue fut carrément larguée par les autres
qui se battaient pour gagner.
Les deux premières pirogues étaient au coude à coude et se disputaient âprement
chaque centimètre. Il s'agissait de l'équipe aux bandeaux bleus et celle aux
turbans rouges.
Les coups de pagaies se faisaient rageurs et l'effort s'arrachait à la douleur.
La victoire irait à qui de ces deux équipages soutiendrait le rythme jusqu'au
bout et parviendrait à rester parfaitement cadencé.
Il était difficile de déterminer qui était devant. Quand l'une des pirogues
prenait de l'avance l'autre rattrapait aussitôt son retard pour passer devant
puis céder à nouveau du terrain.
Les bleus sont devant ! Non les rouges !
Oui ce sont les rouges !!!!!!
Magnifique victoire !
Ça c'est du spectacle !
La foule cria à la gloire des gagnants mais aussi tout simplement pour les
participants. Les nombreuses embarcations sur le fleuve se ruèrent à la
rencontre des vainqueurs dans un tohubohu incroyable.
Des gens se jetèrent même à l'eau et nageaient ça et là entre les pirogues.
La course marquait la fin des festivité mais la populace était encore bien
décidée à profiter de l'ambiance et à célébrer les héros du jour.
Sur les quais de la ville la fête battait son plein tandis que la course
n'allait pas tarder à commencer.
L'équipage de la dernière pirogue prit enfin place à bord et rejoignit les
autres au milieu du fleuve.
Chacune des cinq équipes en lice arboraient un couvre chef différent, il y avait
des calots jaunes, des bandeaux bleus, des couronnes de feuille de palmier, des
turbans rouge et des bandana noir.
Tandis que les pirogues se mettaient en place une masse incroyable d'embarcation
de toute les tailles se pressait sur le fleuve pour assister à la course. Il y
eu bientôt autant de monde sur le fleuve que sur les quais. Il fallut donc un
certain temps pour ordonner ce joyeux désordre et aménager une voie sur l'eau
suffisamment grande pour que la course est lieu.
Une tension presque palpable parcourut la foule alors que les pirogues étaient
parfaitement alignées et convenablement espacées entre elles. De toute part
fusaient des encouragement pour telle ou telle équipe, des cris et des
sifflets.
Les rameurs dans les pirogues étaient à présent immobiles, la pagaie dans l'eau,
prêts.
La clameur de la populace se fit plus discrète comme si tous voulait mieux
entendre le signal du départ.
Sur une large barge placée sur les côtés des cinq concurrents un homme en tenue
d'apparat s'avança en évidence. Il porta à sa bouche une conque et à plein
poumon souffla !
Le son profond résonna avec une telle force que tous sentirent les vibrations
tandis que les cinq pirogues de concert s'élancèrent.
Arrachant à l'immobilité leur embarcations effilées par la force pure et la
précision de leur mouvements cadencés les rameurs glissèrent sur l'eau avec une
vitesse croissante.
Les rameurs donnaient tout ce qu'ils avaient, leurs mouvements étaient
coordonnés afin d'optimiser la vitesse donnant l’impression que vingt hommes
agissaient comme un seul. Certaine équipe avaient un barreur qui imposait le
rythme a son équipe par ses cris.
Rapidement un écart se creusa. Une pirogue fut carrément larguée par les autres
qui se battaient pour gagner.
Les deux premières pirogues étaient au coude à coude et se disputaient âprement
chaque centimètre. Il s'agissait de l'équipe aux bandeaux bleus et celle aux
turbans rouges.
Les coups de pagaies se faisaient rageurs et l'effort s'arrachait à la douleur.
La victoire irait à qui de ces deux équipages soutiendrait le rythme jusqu'au
bout et parviendrait à rester parfaitement cadencé.
Il était difficile de déterminer qui était devant. Quand l'une des pirogues
prenait de l'avance l'autre rattrapait aussitôt son retard pour passer devant
puis céder à nouveau du terrain.
Les bleus sont devant ! Non les rouges !
Oui ce sont les rouges !!!!!!
Magnifique victoire !
Ça c'est du spectacle !
La foule cria à la gloire des gagnants mais aussi tout simplement pour les
participants. Les nombreuses embarcations sur le fleuve se ruèrent à la
rencontre des vainqueurs dans un tohubohu incroyable.
Des gens se jetèrent même à l'eau et nageaient ça et là entre les pirogues.
La course marquait la fin des festivité mais la populace était encore bien
décidée à profiter de l'ambiance et à célébrer les héros du jour.