par Nasnagol de Sancte » 30 juin 2004, 10:43
(hj : j'ai oublié de parler et maintenant je peux plus ...)
[Les yeux de Nasnagol s'écarquillent...
Ses phalanges se crispent sur le manche de la Hache, toujours caché d'un tissu.
Il semble se concentrer un moment.
Il ecarte legerement ses pieds, sa respiration se fait plus tranquille un onde magique flotte dans l'air...
Il marmone... (HJ : PPA)]
Cela ne suffira peut etre pas...
Excusez moi par avance pour mon manque de réaction mais je vais me ...
retirer dans mes reves quelques instants afin de m'eloigner de toute influence béliqueuse.
[Puis Nasnagol s'assoie la hache sur les genous....
Il marmone quelques mots magiques inaudibles, fait quelques mouvements avec les doigts.
Son regard se fait alors vide ...
Un sourire béa s'etire sur ses levres ...
Un sourire qui vous évoque des plaisirs infinis...
Des legers frémissement et soubressaut
agitent son corps alors que des gémissements sortent de ses levres...
Puis il s'immobilise comme si son esprit avait rejoint un paradis de plaisir et de luxure, laissant son corps ramolli affalé sur sa chaise...
Ses doigts toujours crispé sur la hache.]
(hj : j'ai oublié de parler et maintenant je peux plus ...)
[Les yeux de Nasnagol s'écarquillent...
Ses phalanges se crispent sur le manche de la Hache, toujours caché d'un tissu.
Il semble se concentrer un moment.
Il ecarte legerement ses pieds, sa respiration se fait plus tranquille un onde magique flotte dans l'air...
Il marmone... (HJ : PPA)]
Cela ne suffira peut etre pas...
Excusez moi par avance pour mon manque de réaction mais je vais me ...
retirer dans mes reves quelques instants afin de m'eloigner de toute influence béliqueuse.
[Puis Nasnagol s'assoie la hache sur les genous....
Il marmone quelques mots magiques inaudibles, fait quelques mouvements avec les doigts.
Son regard se fait alors vide ...
Un sourire béa s'etire sur ses levres ...
Un sourire qui vous évoque des plaisirs infinis...
Des legers frémissement et soubressaut
agitent son corps alors que des gémissements sortent de ses levres...
Puis il s'immobilise comme si son esprit avait rejoint un paradis de plaisir et de luxure, laissant son corps ramolli affalé sur sa chaise...
Ses doigts toujours crispé sur la hache.]