par Un Loup » 21 avr. 2010, 15:51
Un paon majestueux se promenait, avançant très lentement, par cercles petits et grands.
Il promenait derrière lui en avançant ainsi sa longue et gracieuse roue chargée d'oeils multicolores et brillants.
La paon déployait par instants ses raffinés atours, beau et soudainement fier.
Le paon fit un somme près d'un buisson et près d'un loup, un loup magnifique, gris sombre aux profonds reflets bruns.
Le canidé avait tourné sa large tête face au volatile étrangement coloré mais pourtant gras en suffisance pour espérer imaginer pour l'instinct d'un loup plus qu'un délice visuel.
La bête grise plissa son museau, ses sombres pupilles semblèrent se dilater, et, d'un coup, le loup posa une patte pleine de griffes acérées sur le cou de l'oiseau chatoyant et l'immobilisa.
Le volatile ne résista guère sous les crocs perforants du loup.
Déjà la tendre chair et les plumes chamarrées se teintaient de l'écarlate du sang frais.
Le loup gris, face à un si aisé festin grogna de plaisir, et commença à lécher le sang autour du paon, faisant durer l'extase précédant le moment où il croquerait le gros oiseau tout à fait, prenant le temps du festin, mordillant le cou de la bête et mâcha une des magnifiques et longues ocelles de la queue du paon inconscient.
Enfin, le loup, que nul de dérangea dans les délices de crocs, d'un coup sec de canines acheva le paon et le dévora de la tête aux pattes, dans une mêlée de scintillantes plumes, qui, doucement, retombèrent entre les arbres…se mêlant aux feuilles des épais et verts buissons.
L'oiseau était dévoré, et le loup s'enfonça parmi les arbres.
Un paon majestueux se promenait, avançant très lentement, par cercles petits et grands.
Il promenait derrière lui en avançant ainsi sa longue et gracieuse roue chargée d'oeils multicolores et brillants.
La paon déployait par instants ses raffinés atours, beau et soudainement fier.
Le paon fit un somme près d'un buisson et près d'un loup, un loup magnifique, gris sombre aux profonds reflets bruns.
Le canidé avait tourné sa large tête face au volatile étrangement coloré mais pourtant gras en suffisance pour espérer imaginer pour l'instinct d'un loup plus qu'un délice visuel.
La bête grise plissa son museau, ses sombres pupilles semblèrent se dilater, et, d'un coup, le loup posa une patte pleine de griffes acérées sur le cou de l'oiseau chatoyant et l'immobilisa.
Le volatile ne résista guère sous les crocs perforants du loup.
Déjà la tendre chair et les plumes chamarrées se teintaient de l'écarlate du sang frais.
Le loup gris, face à un si aisé festin grogna de plaisir, et commença à lécher le sang autour du paon, faisant durer l'extase précédant le moment où il croquerait le gros oiseau tout à fait, prenant le temps du festin, mordillant le cou de la bête et mâcha une des magnifiques et longues ocelles de la queue du paon inconscient.
Enfin, le loup, que nul de dérangea dans les délices de crocs, d'un coup sec de canines acheva le paon et le dévora de la tête aux pattes, dans une mêlée de scintillantes plumes, qui, doucement, retombèrent entre les arbres…se mêlant aux feuilles des épais et verts buissons.
L'oiseau était dévoré, et le loup s'enfonça parmi les arbres.