HJ :
Il etait une fois, dans un monde que nous appelerons "eesydo" - enorme inspiration il faut le reconnaitre - des vilains pas beau qui jouissaient d'une notoriete des moins glorieuses. Ces etres, au dela d'etre moches n'avaient m'a t-on dit, aucun savoir faire en matiere de roleplay, deblaterant des FAs tout aussi degueulasses que leurs trognes de fosse sceptique.
Il faut dire que c'est plutot simple et agreable de se defouler sur ces abominations qui n'ont aucun fair play, sont depourvus de cervelle, et ne pensent qu'a taper. Que de biscoto, pas de ciboulot.
Je vais vous relater, en tout humble narrateur, les frasques recurrentes auxquelles ces malfaisants ont droit regulierement :
" Ouinh Il m'a tuaaaayyyyy " ou encore " Ils attaquent tous en meme temps c'est n'importe quoi"... Devant ces propos trop pathetiques pour etre recites dans un lieu constitue uniquement de gens de bonne famille, ceux la meme valorisant le monde d'eesydo, je tairais les potentielles autres anecdotes qui accompagnent constamment ces rebus.
Revenons a notre histoire donc ;
Ces affreux en quete de chaires et de sang s'essayaient a se ballader dans ce monde, effacant les quelques ames egarees qu'ils pouvaient rencontrer. Et puis l'un d'entre eux les remarqua et s'en alla tenter de colporter la presence des ces meprisantes creatures. De diou ! Malgre sa bonne intention, il fut malheuresement rattrape et le jeune mais vaillant Siomurb mordit la poussiere.
Dans son malheur, il demanda la clemence, ayant entrepris une demande qui se devait d'etre traite.
Les etres du chaos se regarderent tous, intrigues, mais deciderent d'attendre, signe de bonne volonte, et de montrer qu'ils n'etaient peut etre pas si terribles que ca tout compte fait, et que toutes ces rumeurs colportees n'etaient peut etre que des "on-dit".
Malgre tout, ils avaient des obligations et deciderent de trancher la tete du vaillant Siomurb des lors sa requete traitee, chose que notre heros savait pertinnement.
Il y a des jours comme ca ou on reprend des forces (a tout hasard genre le jeudi matin et le lundi matin ), et il s'avere que cela a suffit pour relever le vaillant Siomurb, qui heureux d'etre a nouveaux en vie, detala a tout va pour colporter la presence de ces mecreants.
Notre troupe de sales gueules demeura elle plantee la, savourant ce gout qu'elle cotoyait si souvent, mais dont elle n'avait finalement personne a qui conter ses recits.
PS : attention, tout fait ressemblant a une histoire recente/vieille qui se serait produite en jeu serait purement fortuite.
Il y a une morale a cette histoire... je vous laisse la deviner.