par Eymindalë Lomorwenn » 26 janv. 2022, 12:38
Bonjour,
Mon expérience du jeu, comme celle de tou-tes les joueur-ses, c'est de respecter le caractère asynchrone, gratuit et bénévole (pour l'investissement des personnes qui font sa maintenance, son évolution technique, son animation). Respecter et même, savoir l'apprécier.
Je ne veux pas faire de mon cas l'expression d'une généralité de ressentis à ta lecture.
Ceci étant, te lire a été particulièrement pénible, irritant, agaçant.
Quel est le but ? Râler? C'est réussi.
Râler est-il plutôt un moyen ? Mais de quoi ? Susciter la commisération ? Reprocher à des bénévoles de prendre des vacances, et même d'avoir une vraie vie dans laquelle ils peuvent avoir des engagements les éloignant de l'absolue et impérative nécessité de satisfaire un quidam se comportant comme un client ?
Dans le coin où j'ai grandi, quand je traînais mes godasses dans les cours de récré, ça disait aux pénibles un "va chier dans ta caisse". Je me contenterai de t'inviter à aller pousser tes jérémiades ailleurs sans vouloir en faire une affaire d’État odysséen et de compter tes pièces virtuelles au moins dix fois dans ta bourse en te demandant si tu es le nombril du monde.
Bisous, au-revoir.
Bonjour,
Mon expérience du jeu, comme celle de tou-tes les joueur-ses, c'est de respecter le caractère asynchrone, gratuit et bénévole (pour l'investissement des personnes qui font sa maintenance, son évolution technique, son animation). Respecter et même, savoir l'apprécier.
Je ne veux pas faire de mon cas l'expression d'une généralité de ressentis à ta lecture.
Ceci étant, te lire a été particulièrement pénible, irritant, agaçant.
Quel est le but ? Râler? C'est réussi.
Râler est-il plutôt un moyen ? Mais de quoi ? Susciter la commisération ? Reprocher à des bénévoles de prendre des vacances, et même d'avoir une vraie vie dans laquelle ils peuvent avoir des engagements les éloignant de l'absolue et impérative nécessité de satisfaire un quidam se comportant comme un client ?
Dans le coin où j'ai grandi, quand je traînais mes godasses dans les cours de récré, ça disait aux pénibles un "va chier dans ta caisse". Je me contenterai de t'inviter à aller pousser tes jérémiades ailleurs sans vouloir en faire une affaire d’État odysséen et de compter tes pièces virtuelles au moins dix fois dans ta bourse en te demandant si tu es le nombril du monde.
Bisous, au-revoir.