Retour
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Le général n'était pas au Fort, où était-il? Ce n'est
pas une question que la recrue Will l'Archéen fut en mesure de se
poser, encore moins d'exprimer a haute voix.
Il avait a peine conscience qu'il était arrivé, enfin, après un
calvaire de plusieur mois qui s'était achevé par un voyage d'une
traite de la foret jusqu'ici. Ce voyage l'avait obligé a donner ses
dernières forces, a dépasser ses propres limites. Il était chez lui,
de retour.
Il aurait pu en être très heureux. Il aurait pu savourer son retour
avec soulagement, sourire.
Mais il s'effondra. Le soleil des plaine l'avait fait abondamment
transpiré dans ses heures de marche forcée... Cette transpiration lui
coulait dans les yeux, lui brouillait la vue... et faisait peu a peu
s'en aller la boue et le sang qui maculaient son visage.
Il n'avait pas servi longtemps au fort avant sa longue absence, et il
fallut surement un certain temps avant que les soldats présents
puissent l'identifier.
Pendant ce court laps de temps, l'Archéen qui avait eut la force de se
remettre debout pour les dernier mêtres, mais s'était apparement
trainé sur plusieurs autres avant d'atteindre le fort, tituba jusqu'a eux, et s'effondra a leur pieds.
Il roula sur le dos et on eut dit que ce simple effort allait le tuer.
Pourtant il chercha encore a en faire un, il ouvrit la bouche et des
sons s'en échappèrent, mais impossible de comprendre ses paroles
dénuées de sens, ou plutot ses syllabes qui n'allaient pas ensembles:
"gé... où... rê... chu... mo... danann... je... béré... ré... dèè...!
bé... abé... rmé!!!!! soins... soins..."
Les deux derniers mots étaient cependant très clairs: il demandait des
soins.
pas une question que la recrue Will l'Archéen fut en mesure de se
poser, encore moins d'exprimer a haute voix.
Il avait a peine conscience qu'il était arrivé, enfin, après un
calvaire de plusieur mois qui s'était achevé par un voyage d'une
traite de la foret jusqu'ici. Ce voyage l'avait obligé a donner ses
dernières forces, a dépasser ses propres limites. Il était chez lui,
de retour.
Il aurait pu en être très heureux. Il aurait pu savourer son retour
avec soulagement, sourire.
Mais il s'effondra. Le soleil des plaine l'avait fait abondamment
transpiré dans ses heures de marche forcée... Cette transpiration lui
coulait dans les yeux, lui brouillait la vue... et faisait peu a peu
s'en aller la boue et le sang qui maculaient son visage.
Il n'avait pas servi longtemps au fort avant sa longue absence, et il
fallut surement un certain temps avant que les soldats présents
puissent l'identifier.
Pendant ce court laps de temps, l'Archéen qui avait eut la force de se
remettre debout pour les dernier mêtres, mais s'était apparement
trainé sur plusieurs autres avant d'atteindre le fort, tituba jusqu'a eux, et s'effondra a leur pieds.
Il roula sur le dos et on eut dit que ce simple effort allait le tuer.
Pourtant il chercha encore a en faire un, il ouvrit la bouche et des
sons s'en échappèrent, mais impossible de comprendre ses paroles
dénuées de sens, ou plutot ses syllabes qui n'allaient pas ensembles:
"gé... où... rê... chu... mo... danann... je... béré... ré... dèè...!
bé... abé... rmé!!!!! soins... soins..."
Les deux derniers mots étaient cependant très clairs: il demandait des
soins.
Re: Retour
Dans la chaleure des plaines arrive un homme vêtu de
bleu. Une toge bleue avec une épinglette au niveau du
coeur représentant un symbole magique aquatique.
Rapidement, l'attention sur porte sur la marchandise
qu'il transporte. Aussi vite, le terme marchandise
devient innadéquat. Il s'agit d'une personne.
Une personne très connue du Fort. Plusieurs s'approchent
pour pouvoir constater de qui il s'agit mais l'homme
qui l'a transporter jusqu'ici demande déjà à parler
au Général.
bleu. Une toge bleue avec une épinglette au niveau du
coeur représentant un symbole magique aquatique.
Rapidement, l'attention sur porte sur la marchandise
qu'il transporte. Aussi vite, le terme marchandise
devient innadéquat. Il s'agit d'une personne.
Une personne très connue du Fort. Plusieurs s'approchent
pour pouvoir constater de qui il s'agit mais l'homme
qui l'a transporter jusqu'ici demande déjà à parler
au Général.
Re: Le colis
nous n'avons pas la meme notion de rapidité, attendre depuis le 2 aout de pouvoir ne serait ce que parler, je trouve pas sa rapide.
merci le fort pour votre fair play
merci le fort pour votre fair play
Re: Le colis
Si t'es pas content bah t'as cas ... t'as cas le gardé pour toi!
Au moins t'es pas mort.
Au moins t'es pas mort.
Re: Le colisinterventiondu super MJ Fort
On coupe court à ce thread, et immédiatement. Pour les éventuels illétrés qui parcoureraient ce forum, il est destinés aux messages EJ, voire HJ mais de bonne ambiance. Je ne veux ni définir qui a commencé, ni qui est en tort, y'a des adresses mails, y'a irc, y'a tout ce que vous voulez, mais pas CE forum. Le prochain qui poste contre ces directives le sentira passer... et fort...
Le colis - suite
Une rumeur se propageait parmi les recrues qui s'entrainaient à l'académie ,
il paraitrait qu'une masse informe et verdatre, tirée par la charmante caporale,
traversait la cour.
Le temps que le groupe se rue à l'entrée de l'académie, avec la discrétion d'une
troupe de gobelins en pleine charge , la femme ouvrait déjà la grosse porte
des geoles, suivie de près par un autre militaire qui s'occupait du prisonnier.
Elle le laisse entrer en regardant l'être vraissemblablement chaotique avec un
oeil froid, puis lache la porte, qui se referme dans un long grincement...
grincement sinistre dans le silence qui venait de s'installer sur le fort.
Le soldat, posté en garde à l'extérieur, verrouille alors la porte.
N'ayant plus rien à regarder, les recrues retournèrent à l'entrainement, bien
que quelques curieux s'attardaient et allaient de leur petits commentaires
personnels.
il paraitrait qu'une masse informe et verdatre, tirée par la charmante caporale,
traversait la cour.
Le temps que le groupe se rue à l'entrée de l'académie, avec la discrétion d'une
troupe de gobelins en pleine charge , la femme ouvrait déjà la grosse porte
des geoles, suivie de près par un autre militaire qui s'occupait du prisonnier.
Elle le laisse entrer en regardant l'être vraissemblablement chaotique avec un
oeil froid, puis lache la porte, qui se referme dans un long grincement...
grincement sinistre dans le silence qui venait de s'installer sur le fort.
Le soldat, posté en garde à l'extérieur, verrouille alors la porte.
N'ayant plus rien à regarder, les recrues retournèrent à l'entrainement, bien
que quelques curieux s'attardaient et allaient de leur petits commentaires
personnels.