Extrait d’une conversation dans la cour du monastère...

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Merzbow
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Extrait d’une conversation dans la cour du monastère...

Message par Merzbow »

Le monastère offre ceci d’étrange que toutes les personnes, quelques
soient leurs horizons peuvent s’y côtoyer sans qu’il n’y est effusion
de sang...Furinus y veille ! Ainsi, la liche Merzbow se retrouvait à
discuter avec une de ses connaissances tandis, que tout autour d’eux
se tenaient les troupes du Sud, presque au complet.

Tout commença par un commentaire d’une recrue du fort, Malarius...

"En effet vous avez raison mon Sergent nous pouvons être tenté par
cette diablerie de magie, mais j'ai bien saisie que cette art de magie
est interdit, elle ne m'attire pas, je préfère me défendre par ce que
j'acquière comme compétences au sein de notre armée, et pis défendre
les conviction de justice et de liberté colle à ce que je pense de
notre monde. Je veillerai à me méfier de cette tentation soyez en sur.

En outre, je ne connais peu de choses sur le mode d'action des
nécromants et des guerriers du chaos, je suis prêt à vous écouter avec
grand attention. Mais d'abord je veux bien avec un volontaire si vous
me l'ordonner essayer de retrouver notre compagnon d'armes, Béhémos, à
priori il serait dans les parages, ont ne l'à pas revue depuis qu'il à
voulu chercher cette fameuse cave, c'est cela mon Sergent ?"

[ Alors que la recrue portait vers son supérieur un regard interrogateur,
c’est la liche, qui attirée par ces propos se tourne vers lui et répond
de sa voix dénuée de toute intonation :]

" Laisses moi t'instruire sur le peuple de Fournaise. Nous vénérons un
Dieu qui pense que la destruction est la seule solution aux maux de
cette civilisation. Nous vivons une époque où différentes factions
oeuvrent dans ce monde à la recherche d'un idéal qu'elles ne pourront
jamais atteindre. Mon Dieu propose quant à lui une solution aux
malheurs: la Destruction de toute société pour qu'enfin règne la loi
du Chaos, charitable et mieux adaptée à la société des hommes."

[ Il se trouvait là un serviteur d’Azad, la liche le montra d'un geste
aérien de la main, puis reprit :]

" Le serviteur d’Azad ici présent te parlera mieux que quiconque du Chaos car il
sert Azad, le Dieu qui le prône par dessus tout. Ananke prône la
Destruction par et pour le Chaos. Azad lui prône tout simplement le
Chaos. Mais...le Chaos, qu'est-ce finalement ? C'est un concept qui
indique que chaque personne est libre de faire ce qu'elle veut avec un
minimum de règle. Et c'est là où je pense, qu’Ananke et Azad sont en
désaccord: Azad imposerait un minimum de règle au Chaos tandis
qu'Ananke n'en imposerait aucune. Finalement Azad n'est qu'une partie
plus calme et modéré qu'Ananke. N'hésites pas à me reprendre, Azadrim,
si je m'éloigne du sens que donne ton Dieu au Chaos.

Maintenant, voyons un peu les moyens que Fournaise met en oeuvre pour
exécuter sa théorie: Quelques troupes et castes d'élites parmi
lesquelles les guerriers du Chaos et les Nécromants. Commençons par
les Guerriers du Chaos. Ce sont généralement des incompris de la
justice, pas nécessairement des assassins ou meurtriers. Ils ont tous
fait acte de repenti pour servir Ananke et ses desseins de monde
nouveau, où chaque être aurait les même chances et serait libre de
faire ce qu'il désire.

Mais, une guerre fait rage, et les Guerriers de la Fournaise sont
confrontés aux troupes du Fort, dont tu fais partis à ce que je vois,
et à celles de la Baie. Leur mode d'opération dans cette guerre est
facile de compréhension: Tuer avec que l'autre ne le fasse. Pour se
faire ils reçoivent un entraînement d'élite et, lorsqu'ils se déplace,
le font en groupe. Car dans l'histoire, jeune recrue, la chose la plus
importante, c'est le nombre. Bien sur l'entraînement compte aussi,
mais le nombre est prépondérant.
Je ne peux parler des Guerriers du Chaos sans parler des templiers de
Vénéra et des soldats du fort. Oui, car finalement ce sont des êtres
similaires qui malgré tout sont opposés. Pourquoi ? Parce que là où
Ananke offre rédemption, Vénéra ordonne punition. Là où Ananke permet
utilisation, Vénéra exige prohibition. Finalement les templiers,
soldats et les guerriers du Chaos sont des entités similaires dans
deux mondes différents. Il n'y en aura pas un de plus juste ou de
moins juste que les autres.

Vénéra interdit l'accès à la magie ténébreuse tandis qu'Ananke
l'autorise. La magie, jeune recrue, n'est que le reflet de ce qu'on en
fait. Il n'y a pas de bonne ou mauvaise magie, seulement des hommes
qui les utilisent. Tu nous vois comme fanatique sans doute ? C'est le
regard que porte sur toi Fournaise. Tout est question de point de vue.
La possession de magie lumineuse est tolérée à Fournaise. Son
utilisation commence à poser problème vu les perturbations qu'elle
provoque lorsqu'on la met en milieu ténébreux. Tu sais sans doute que
la Baie et le Fort tue à vu les détenteurs de magie ténébreuse. Et
c'est nous que tu traites d'extrémistes ? Penses y...

Laisse moi t'apprendre une autre chose: il n'y a pas de mauvais où de
gentils, seulement des personnes qui usent de moyens différents pour
parvenir à leurs fins.
D'ailleurs, certains soldats sont plus Chaotique que ne le seront
jamais les Guerriers du Chaos..."

[ Il désigna de sa main le bras droit du Général Aerox, Krumpf.:]

" Mais tu désires connaître les Nécromants ?
Je vais alors te conter une histoire: Autrefois, dans les terres des
Brumes il y avait mages blancs, mages élémentalistes et mages noirs
qui se côtoyaient. Dans les mages noirs étaient compris les
nécromants. Leur quête ? Etudier la vie. Si les mages blancs
désiraient soigner et prolonger la vie le plus possible par des soins,
les nécromants eux se sont penchés sur le pourquoi du comment. En
d'autres termes ils ont voulut prolonger la vie grâce à leur étude de
la magie nécromantique. Deux voix qui oeuvrent vers la même cause,
mais avec des méthodes différentes. Ils vivaient en paix et s'aidaient
mutuellement dans leurs travaux. Puis, au fur et à mesure, les
nécromants attirèrent le peuple qui ne les compris pas et se révolta
contre eux. Ils durent alors travailler dans les sous-sols de
Brumevent où les Comtes leur accordaient leurs
soutient...discrètement. Déjà à cette époque l'ignorance primait sur
la connaissance. Les nécromants avaient dut se cacher pour continuer
leurs études. Puis, un jour une femme, Sorsha, fille d'Ashura et sœur
de Minuit, se fit par hasard connaître. Elle dirigeait l'ordre des
nécromants et, quand le peuple appris qu’il y avait toujours des
nécromants dans les caves de Brumevent, la révolte gronda et le Comte
d'alors, bien qu'opposé au renvois des nécromants n'eut pas le choix.
Il expulsa les chercheurs de Brumevent. Ces derniers non plus n'eurent
pas le choix. De Brumevent ils passèrent à La Fournaise, seul lieu qui
voulait bien les accueillir. Puis, un beau jour, Sorsha fut faite
prisonnière. Minuit, sa sœur était la coupable de cette arrestation.
Sorsha fut brûlé vive dans la cour du Fort. S'en fut finit des mages
noirs d'Ashura qui vouaient leur vie à l'étude de la mort. Les
nécromanciens d'Ananke étaient nés. Leur but ? Continuer l'étude de la
mort. Mais pour se faire ils disposent maintenant d'une chose qu'ils
n'avaient pas avant: des cadavres ramenés par les guerriers du Chaos.

Leur méthode d'opération est simple: ils n'attaquent que lorsqu'ils
ont besoin de composantes pour en apprendre plus sur la mort. Oh, ils
ne sont pas non plus des victimes et s'ils sont attaqués ils se
défendront. D'ailleurs, je crois que certains ici présents se
rappellent la cuisante défaite subie à la Fournaise lorsque le Fort
l'avait envahis. 3 nécromants avaient réussis à repousser l'armée du
Sud. N'est ce pas, douce leoctania ? »

[ Prenant à partie cette dernière qui se trouvait là, Merzbow continua
pour Malarius:]

« Voilà jeune recrue. Tu en sais plus sur nous. Vas maintenant, vas et
affirme haut et fort que les terres du Sud sont moins méprisables que
celles du Nord si tu l'oses. La Fournaise n'est finalement que ce que
la Baie, Brumevent et le Fort ont fait d'elle. Les vrais coupables
dans cette affaire, c'est le Sud.

Alors avant d'avancer, lance levée, penses à mes paroles. Il n'y a pas
de bien ou de mal, seulement des points de vus différents. La Baie a
tout autant de part d'ombre que la Fournaise. Et Fournaise tout autant
de part de lumière que la Baie.

Désolé d'avoir brisé tes chimères..."

[Il se trouva alors un soldat, fin d’esprit...pour argumenter juste
après la liche :]

"Vraiment chouette cette description de nos deux mondes...Wow j'avais
jamais perçu ça comme ça et j'en savais pas autant sur les nécros!"

[Il regarde alors ses supérieurs et notamment Léoctania]

"Vous approuvez ou c'est juste une vision partiale? Il a oublié
quelque chose?"

[Puis se fit le tour de la recrue de s’exprimer, ironisant car incapable
de contredire les paroles de la liche :]

"Bien, bien, j'ai entendu, en gros tout le monde il est gentil, tout
le monde il est méchant, ç'est bien ça, je respecte des convictions,
tes aspiration, d'un construction de la réalité de notre monde, mais
je ne le conçoit pas, les nécromants et la fournaise sont nos ennemis,
et ça je l'ai bien compris, je ne trahirai jamais notre vénérable
armée et l'alliance du Sud, je ne suis pas un fourvoyeur, et pour rien
au monde je ne donnerai mon âme à la diablerie, le mal, désolé mais tu
ne me convaincra pas,mais je vois que tu à plus d'un tour dans ton
sac, et que tu veut sans doute nous éclaircir mais ça ne marche pas
sur moi, désolé. Mais bon nous nous rencontrerons peut être plus tard
soit sur un champ de bataille ou pour pour-parler, en tout cas merci
tout de même d'avoir pris le temps de donner ton avis, je te salut
tout de même."

[Krumpf s’intéressa lui aussi aux propos, y répondant :]

"Ainsi donc voici la vérité que l'on m'a toujours caché ?! Vous êtes
la lumière dans ce monde, merci de m'avoir éclairé sur tous ces sujets
! Dire que j'étais dans l'erreur pendant si longtemps... Pardonnez-moi
et acceptez-moi dans vos rangs et je combattrais à vos côtés !!!"

[Krumpf éclata alors de rire avant de poursuivre]

"Bien sûr, le sud est aussi noir que vous et vous êtes aussi bon que
le sud, il faut juste faire l'effort d'oublier les villes incendiées
et les civils massacrés, les villages pillés, les troupes d'esclaves
trouvés à la fournaise dont des femmes et enfants, j'en passe et des
meilleurs. Si vous croyez que vos propos peuvent ne serait-ce que
faiblement influencé le moindre de nos hommes, vous vous fourrez le
doigt dans l'oeil et bien profond ! heu... ou peut-être dans
l'orbite..."

[A peine eut il finit que leoctania prenait la parole, désappointée
par la demande de son subordonné:]

"Il faut vraiment que je justifie ? Tu as gobé ses paroles sans même
réfléchir Taurus ? Même avec ce que je viens de dire sur la magie
noire, tu penses vraiment que la Baie et la Fournaise sont égaux dans
la lumière et l'ombre ? Foutaise de beau parleur !

Je ne connais pas l'histoire et je m'en contrefous. Ce qui est
important c'est que la fournaise et la corruption d'Ananke terrorisent
les habitants du Sud depuis des générations, et que le Sud n'a rien à
voir dans la création de ce bordel: les guerriers du chaos qui
massacrent et violent, les prêtres d'Ananke qui font des rituels
inimaginablement immondes, et les démons, les fils d'Ananke lui même.

Quant aux nécromants (je ne les oublie pas) qui avaleront ta vie sans
scrupule quand tu te trouveras sur leur chemin, sérieusement, NOUS
serions à l'origine de ces dégénérés en ayant fait je ne sais quoi il
y a des décennies ? Alors si c'est ça, on ferait mieux de se cotiser
pour leur payer une thérapie de groupe, ça nous économiserait de
l'énergie.

Au passage Taurus, si ils avaient voulu vraiment et uniquement étudier
la mort, ils seraient allés à la pyramide vouer un culte à Horosis au
lieu de se mettre à la botte d'Ananke, juste pour le POUVOIR !"

[Scanda-t-elle avec un regard assassin à Merzbow.

Puis elle se tourna vers Malarius, à qui elle mit un taquet derrière
le crâne: ]

"Et toi, jeune blanc-bec, apprend à parler moins fort, ce n'est pas la
première fois qu'on te le dit!"

[ Malarius très agacé par la claque que lui mis son supérieur sur la
tête, fais un signe de la tête montrant tout de même qu'il avait
compris le message, il dit tout de même à haute voix : ]

"Oui mon Sergent, comme d'habitude je fais mal, mais bon vous avez
raison, c'est vous le patron, j'avais juste envie de mettre un peu
d'ambiance car là on se fait un peu ch...., désolé pour la vulgarité
mais il y en a un peu mare, c'est vrai à la fin, je vous propose avec
un compagnon d'armes d'essayer de retrouver un de nos camarade, vous
ne me répondez même pas et par contre vous me mettez une claquette
parce-que je m'exprime librement, donc moi je fais quoi j'attends que
vous soyez de bonne humeur, ou que vous ayez finis de faire caca pour
me répondre, désolé avec tout le respect que je vous dois, et dieu
sais que j'ai du respect pour vous, mais là j'en ai raz le bol, voilà
ça c'est dit et a mes risques et péril comme ont dit par chez moi. "

[ Les réactions des Fortois ne s’étaient pas faites attendre et, après
un petit moment de silence, le Seigneur Liche reprit :]

" Je n’attend pas de vous que vous approuviez mes propos. Je sais
l’armée du fort formatée pour ne rien penser d’elle même. Les hauts
gradés dictent leur conduite sur les recrues. Mais, si vous aviez un
peu de liberté de penser et une quelconque soif de vérité, alors,
profitant du fait d’être dans le monastère, vous iriez à la
bibliothèque faire des recherches sur mes dires. L’histoire est connue
et relativement récente, donc bien archivée. Augustus n’aurait aucun
mal à vous en parler. Vous verriez alors que mes propos ne sont ni
partiaux ni inventés. "

[ Il se tourne alors vers Krumpf :]

"Viens donc voir dans les terres du Nord. Vois nos fermiers, nos
femmes et nos enfant. Trouves en ne serais-ce qu’un seul qui n’a pas
perdu de membre de sa famille tué par une incursion du Fort sur nos
terres. Oui, nous ravageons le Sud, mais force est de reconnaître que
vous en faites de même dans le Nord. Quant aux esclaves que tu pointes
du doigt, avec raison d’ailleurs, il est des pays où les lois
diffèrent, tu le sais. Et cela fait donc de nous vos ennemis ?
Curieuse ouverture d’esprit.

Pyramide et Fournaise reconnaissent qu’il y a des hommes qui dans la
vie ont moins de chance que les autres. Je ne parle pas de morphologie
ou d’origine ethnique, où finalement tous les hommes sont sensiblement
égaux. Mais je te parle de chance, d’aléas de la vie, de choses qui
font qu’au mauvais endroit au mauvais moment, tu deviens esclave. Cela
aurait pu m’arriver tout aussi bien qu’à un autre. Mais les faits sont
là. L’esclavage est le principal commerce de la Pyramide et fait
partit de Fournaise.

Tu reprocherais donc à ton voisin d’avoir des lois différentes des
tiennes ? Je sais que tu n’es pas payé à penser mais à suivre tel un
mouton des ordres et des enseignements que ton père, ton grand père,
ton arrière grand père et finalement tous tes ancêtres t’ont
enseignés. Peut être devrais tu porter un regard critique sur tout
cela ? "

[ Puis il se tourne vers la sex-symbol du Fort :]

" Douce leoctania, tu parles à tes recrues avec une telle véhémence
envers la magie ténébreuse que tu nous ferais presque oublier que tu
la pratiquais. « Faites ce que je dis pas ce que je fais », oui,
c’est la citation adéquate à la situation.

Je suis désolé que mes propos aient entraînés la mutinerie de ta
recrue. Elle ne semble pas encore formatée à la vie militaire et
paraît avoir conservé un semblant d’autonomie de penser... "

[ A Malarius :]

"Tes agissements et tes propos font honte et discréditent tes
supérieurs. Surtouts prononcés devant l’ennemi, moi en l’occurrence.
Mais rassures toi...je n’accordait pas déjà un très grand crédit à tes
sergents...mais là je dois dire qu’ils ont atteint le fond. Leurs
recrues n’obéissent pas, se permettent de mettre en doute le bon sens
de leurs propos et vont même jusqu’à être odieux avec eux, voilà qui
est fort...détonnant... "

[ Un petit rire glacial se fait entendre tandis que la liche incante
un sort complexe :]

"Ton amis, Behemos est bien téméraire. Sait il que là où il se
trouve il s’expose aux attaques ennemis ? S’il avait un quelconque
intérêt pour nous, à l’heure qu’il est il serait déjà mort... Et toi,
tu viendrais de le vendre à ton ennemi. Tu cumules, jeune homme... "

[ Puis, Irostratus qui n’était pas encore intervenu, se tourna vers le
Seigneur Liche et les recrus :]

"Les mots.. voici le seul pouvoir dont on peut abusé en ces lieux.
Certains les utilisent mieux que d'autre et pas forcement à bon
escient. Votre formation vous permettra de reconnaître la vérité dans
tout se fouillis et ce par vous même.
Dans tous les cas si vous avez du mal, il suffira d'attendre un moment
pour sentir une présence obscure et terrifiante s'initier en vous et
vous retirer la vie, n'est ce pas Merzbow? Comme lorsque que toi ou un
de tes acolytes Nécromant me l'a retirée place de la baie alors que je
discutait avec une fille de joie que j avais déjà payé !!!!

Si je suis ta logique, toi tu kidnappes, violes, séquestres et abuses,
par comparaison nous payons juste quelques deniers à une gentille
demoiselle de la baie.
Effectivement les deux sont identiques sauf que nous travaillons dur
au fort pour récupérer notre pécule !

Trêve de plaisanterie. Nos jeunes ne sont pas moins ignare que tes
propos envoûtants et manipulateurs. Quelque soit la véracité de tes
dire, tout référentiel a son interprétation du mensonge et de la
fourberie, et nos jeunes le verront bien assez vite sur le terrain.

Par contre, je prendrais bien un de tes os pour me rembourser de la
perte que j'ai eu à la baie. Choisis le, ça sera celui que je
prendrais la prochaine fois que l'on se verra.

[Finit il amusé. Il se retourna vers Krumpf sourire au coin des
lèvres.

Puis à Malarius de se faire entendre de nouveau, visiblement irrité par
les railleries de la liche à son égard, sur la défensive :]


"Je vois que vous ne ratez pas une occasion pour mettre le bordel ou
mettre la confusion dans l'esprit de mes compagnons d'armes. Alors moi
je vous répond, je ne manque pas de respect à mes supérieurs, depuis
le début de ma carrière de jeune soldat j'ai sans doute commis des
erreurs effectivement mais j'ai toujours répondu au ordres et jamais
je n'ai rechigner à cela. De plus encore une fois vous n’arriverez pas
à me détourner dans mon esprit de mes croyances, et oui heureusement
que je ne suis pas un de vos alliées, j'aurai mal au ventre tout le
temps. Enfin je n'ai pas vendu mon camarade comme vous le dites si
bien."

Pour finir, la liche se tourna vers Irostratus :]

« Quelle réputation me fais tu là ! Celle de briseur de couple est
pour moi la plus cruelle ! Loin de moi l’idée d’avoir voulu te séparer
de la jolie Roxanne...

Vos jeunes ne sont pas ignares, non, juste manipulés pour n’avoir
qu’une seule façon de penser. Mon seul désirs, c’est que par mes
propos un ou deux d’entre eux élèvent leurs esprits, examinent les
faits, recherchent dans les archives et brisent enfin ce froid rideau
de fer que vous avez posé dans leur conscience.

Enfin, avoir conscience que l’alliance du Sud n’est pas exempte de
tous reproches sera déjà une victoire en soit...

Sur ce, belle troupe, je vous laisse...le travail...le travail...et
encore le travail...le Sud ne se détruira pas tout seul !
Quoique...c'est peut être là une idée à méditer: la capacité à
s'autodétruire du Sud...

Au plaisir de vous revoir, inerte, dans une marre de sang !"

[ Il s’en fût alors, laissant tout le monde méditer sur la conversation.
Le Nord était il vraiment ce qu’on en avait toujours dis ? Quelqu’un
était il allé en Fournaise pour en témoigner ?
Et, surtout, le Sud était il si exempt de tout reproche ?

...à méditer... ]

Hj : Désolé à ceux dont j’ai coupé les FAs...mais bon je devais essayer d’être...hum....concis ? :D

Merzbow
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