Une fumée lourde, d'un gris sombre menaçant, s'élève au dessus des ronces qui bloque le village du monde extérieur.
Quoi que ces voyageurs aient décidés de cuire sur leur feu de camp, celui ci était de taille démesurée.
Lourde fumée
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Re: Lourde fumée
Les flammes volaient si haut et si clair qu'elles étaient visibles à des lieux à la ronde. Tout le village bruissait de panique, toutes les lèvres portant la nouvelle : la haie de ronces, la haie de ronces qui les protégeait si bien, était en train de partir en fumée !
Vu le brasier intense qui se dégageait, la fumée qui signalaient comme un fanal la catastrophe qui menaçait le village, il n'y avait que peu de doute : la haie ne serait bientôt plus qu'un souvenir.
Mais le village, le village était aussi la proie potentielle des flammes....
Vu le brasier intense qui se dégageait, la fumée qui signalaient comme un fanal la catastrophe qui menaçait le village, il n'y avait que peu de doute : la haie ne serait bientôt plus qu'un souvenir.
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Re: Lourde fumée
Les défenseurs de Boisdoré se précipitaient vers les flammes, opposant leur courage au brasier. Du lieu où l'incendie se faisait le plus violent, jaillissaient des sorts tout azimut. Le combat faisait rage avec cette violence dont le village n'était pas coutumier. Mais la cible n'était en rien une créature d'Asrélia ou de TeDanann...
Certains, au village, répartissaient sans doute les tours de garde et les relais pour amener de l'eau et des seaux sur le front. D'autres luttaient sur les lieux avec leurs propres moyens.
Pourtant, malgré cette apparente anarchie, la fumée se faisait moins dense et les flammes de moins en moins visibles. Au prix de quelques heures de lutte, elles disparurent même bientôt, invisibles depuis Boisdoré.
Sur la place, nul doute qu'on attendait anxieusement des nouvelles du front... même si celles-ci tardaient à venir !
Certains, au village, répartissaient sans doute les tours de garde et les relais pour amener de l'eau et des seaux sur le front. D'autres luttaient sur les lieux avec leurs propres moyens.
Pourtant, malgré cette apparente anarchie, la fumée se faisait moins dense et les flammes de moins en moins visibles. Au prix de quelques heures de lutte, elles disparurent même bientôt, invisibles depuis Boisdoré.
Sur la place, nul doute qu'on attendait anxieusement des nouvelles du front... même si celles-ci tardaient à venir !