J’engage mon pas, se faufilant, dans le sable élevé.
Jeux d’enfants d’adultes érigé je perds mes mots devants ses côtés.
Les voiles flottent grouillant partout.
Le Bioptère doré me regarde, je fuis le sien.
Incroyable coulant je le remonte.
J’arrive devant les souris, oubliées et non évoluées, leur nombre m'ébahit.
Partout me surveille l'icône. La Mort Resplendissant n’est pas dans sa masse.
J’en fais l'ombre.
Ici la main se dore et s'appauvrit. Je reste.
Le Bioptère doré me voit, je cours trop vite, il me rattrape. Mon dût s’échappe.
Je suis dehors.
Le nid des rampants assoiffés s’ouvre.
Leur sonnette empli le vide.
Je fais le tour loin des crécerelles.
Ici il n’y a que tous. Rassemblés.
Fou rire et écho. Je dérange les secrets.
De toute façon il n’y avait rien à gloutonner.
J’arrive aux tigres troués, aux lions édentés et aux coqs déplumés.
Ils me voient glousser.
La fierté s'éteint quand je rougis les fourmis noires de mon flot. Elles sont toutes proches.
Un infini jaune peut être dans les pavés.
Pour elles aussi mais noyées.
Déjà disparut l’air est glouton quand le frère me libère.
Clopant je retourne la où je ne sais.
Je suis l’avenir car il est derrière.