Alerte maximale

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Modérateurs : MJs, MJs Baie

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Pages du Tribunal

Alerte maximale

Message par Pages du Tribunal »

[Plusieurs pages sortent du tribunal en courant répétant à tous les mêmes mots]

"La ville est placée en état d'alerte maximale ! Tous les miliciens et défenseurs de la ville sont attendus au Tribunal !"

[Déjà des bruits courent qu'un évènement horrible est en train de se produire au loin vers l'Ouest]
Capitaine Lodric

Re: Alerte maximale

Message par Capitaine Lodric »

Le capitaine, en route vers le Tribunal, suivit du regard le groupe de pages qui couraient en tout sens.
Il grogna lorsque l'un d'entre eux le bouscula mais il poursuivit sa route, hélant au passage les miliciens qui se trouvaient à proximité.
"Bougez-vous les miches bande de fainéants, un peu d'exercice vous fera le plus grand bien. Vous avez pour ordre de vous rendre immédiatement au tribunal."
Tout cela laissait supposer que les miliciens retardataires allaient certainement souffrir de ce manque de discipline.
Populasse en masse

Panique Maximale

Message par Populasse en masse »

Alors que les Miliciens se dépêchaient de rejoindrele Tribunal, ils bousculaient quelques personnes au passage... Certains sur la Place, abondament peuplée comme d'habitude, tombaient par terre et se relevaient en pestant.
L'agitation commençait à croître, bientôt les voix s'élevèrent sur la Place Centrale de La Baie. Certaines femmes criaient, d'autres pleuraient tout comme leurs enfants.

"Mon frère vit à BrumeVent ! A BRUMEVENT !" répétait sans cesse un marchand de légumes en proie à l'affolement le plus total. Il brandissait un poireau et criait à tue tête. Malheureusement, ce rituel aussi mystique fusse-t-il n'avait pas agit et téléporté le frère du marchand de légumes jusqu'à La Baie.

Certaines rumeurs disaient qu'un seul homme était parti rejoindre les Soldats du Fort pour aller défendre le Castel Brumois. Serait-ce vrai ?
Déjà la crainte d'un assaut chaotique sur la ville se faisait sentir. Des claquements retentissaient à mesure que les volets se fermaient, les mères rentraient leurs enfants à l'intérieur, et le marchand de légumes criait toujours... mais en brandissant une carotte.
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