reflexion

[un lecteur de la bibliotheque]

Alors qu'elle se promenais parmis ce lieu quelle ne fut pas sa surprise de voir des gens en armes , furrinus autorisai t'il leurs ports dans ce lieu saint ?

[Un moine]

Alors qu'il regardait le lecteur, ou plutôt la lectrice, s'ébaubir du fait que certains
arboraient des armes dans l'enceinte du monastère, un personnage haussa les épaules.
On ne s'étonnait plus de rien de nos jours.
Si certains manquaient de politesse au point de garder leurs armes en main,
d'autres venaient dans une bibliothèque sans savoir écrire.
Si la violence n'entrait dans ce saint lieu, Furrinus n'y trouverait rien à redire.

[La pensée du jour]

L'arme n'est violence que si l'homme l'est avant elle.