Alarme!

[Gardes]

Les mouvements de gardes se font de plus en plus dans la
cité. Dans les rues on entend les gardes communiquer
entre eux et on les voit marcher d'un pas pressé. Le
quartier riche semble être le lieu chaud! Les gardes
s'organisent vers ce lieu.

Peu de temps après l'annonce de la fermeture des
portes de la cité se fait entendre. Quelle agitation!

Un contingent de gardes escortant un solide gaillard
ressort du quartier riche et se dirige vers la caserne.


On raconte même le retour inattendu d'une personne
bien connu à Balamoun, entre deux nouvelles sur
la situation d'alerte.

[Barde]

Etait ce une malédiction qui veuille qu'à chaque visite dans une cité, celle ci se devait d'en clore les portes pour quelques raisons de force majeure ? Ou était ce un moyen détourné de garder dans ses murs un troubadour de passage ! Il aurait bien aimé se gausser de cette bêtise, mais au courant des tenants et des aboutissants et avec un dénouement certain, pourquoi garder encore les portes closes ? Heureusement que les réserves de maître Telka sauront faire patienter...

Musique et agape, quoi de mieux pour attendre la liberté !

[Gardes]

Finalement les portes sont réouvertes et les voyageurs
reprennent leurs routes. Les caravanes se préparent à
faire mouvement, les visiteurs retenus aux portes
peuvent enfin entrer et inversement.

Ceux qui sont restés bloqué trop longtemps à leur goût
ont tôt fait de pester contrer ces mesures. Il n'est
pas rare d'entendre des questionnements ou des
citoyens satisfait des mesures de protections...

Alors que certains parlent que c'était une autre de
ces tempêtes de sables qui frappent la cité, d'autre
parlent du navire qui a accosté et des malheurs qu'il
apporte.