Et un sujet comme ça, parce que je n'en ai pas trouvé de tel (mais franchement, Odyssée, je vais tout te dire, je l'ai pas vraiment cherché).
Tu m'évades, tu me dépayses, tu me Victor Hugo. Bordel, tu me Victor Hugo.
Tu me fais frémir. Parfois. C'est beau, l'incertitude des parfois. On sait qu'ils viennent, ils vous surprennent toujours. C'est ta petite bobine, bel Odyssée.
Ô Odyssée, tu es la silhouette qui hante une âme, tu es cette brèche, ce moment de suspension, la perpétuation du point culminant. Tes charmes sont ton intérieur, bel Odyssée. Tu n'aimes pas le paraître, joli bébé.
Cher Odyssée, tu fais vibrer.
Il y a les paradis que l'on pleure, à jamais, les ayant réalisés une fois plongées dans le purgatoire de ce que l'on a compris, mais trop tard, une fois perdus, sans retours.
Et il y a le temps suspendu, épique, mouvementé, cyclones et tornades, destins liés et chutes effrénées, mais où tout, tout, est auréolé d'une sérénité : celle des bonheurs qui restent, immuables. Et c'est tout toi.
Alors, tu sais quoi ?
Aux personnages croisés, aux MJ qui t'animent, il me reste une chose, la plus belle, à coucher ici : les points de suspension.
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