Une rumeur se propageait parmi les recrues qui s'entrainaient à l'académie ,
il paraitrait qu'une masse informe et verdatre, tirée par la charmante caporale,
traversait la cour.
Le temps que le groupe se rue à l'entrée de l'académie, avec la discrétion d'une
troupe de gobelins en pleine charge , la femme ouvrait déjà la grosse porte
des geoles, suivie de près par un autre militaire qui s'occupait du prisonnier.
Elle le laisse entrer en regardant l'être vraissemblablement chaotique avec un
oeil froid, puis lache la porte, qui se referme dans un long grincement...
grincement sinistre dans le silence qui venait de s'installer sur le fort.
Le soldat, posté en garde à l'extérieur, verrouille alors la porte.
N'ayant plus rien à regarder, les recrues retournèrent à l'entrainement, bien
que quelques curieux s'attardaient et allaient de leur petits commentaires
personnels.
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Re: Le colis - suite et fin
Dans les geoles, un bruit sourd se fait entendre, les deux gardes chargaient de la surveillance du colis sont recouverts sang.
Il paraitrait que la chose verte s'est fait explosé la tête laissant les deux gardes sur leur fin.
Il paraitrait que la chose verte s'est fait explosé la tête laissant les deux gardes sur leur fin.
Re: Le colis - suite et fin
Jusque sur la place du fort, on entendit un cri de rage. Surement quelqu'un qui avait besoin de se défouler....
Dans la citadelle, des taches vertes et des morceaux rose dessinent un chemin entre les geoles et le mess ...
Dans la citadelle, des taches vertes et des morceaux rose dessinent un chemin entre les geoles et le mess ...