Journal de Jack Hooker





Domicile des Trifling.

Voilà. A peine le grand luisard se pointe qu’il me fait sonner huit pièces dans sa pogne… il avait rien besoin de me dire, le bougre… kling-klang kling-klang… de toutes les comptines qu’on te serine, la meilleure pour sûr !… la ligne mord mieux de bon matin, la poiscaille plus tendre se laisse équarrir son écaille fastoche, qu’il me dit. Le port de la Baie en est bouché, ça se déverse en grands bancs vers le quartier des Lettrés. T’as qu’à essayer, c’est déjà dans la poche, mire-moi ce couillon, avec sa filoche ouverte comme des cuisses de putain… y a pas de sots métiers, y a que des sottes gens, comme on dit… alors je m’avance, l’affaire est emballée en trois secs et vingts figues en or. Mais on me voit venir, et des bourres ventrues nous coursent sur le trim’… semées en moins de deux que ça s’est fini en gouillante le soir venu, au Rouge-Gorge. Ils étaient tous à la ribouldingue, gueules d’empeigne qui crachotant, qui grognant, qui bonimentant, et tous à m’adouber chevalier de la grippe, avec force moussantes !… Et le vieux Gildas qui rapplique à point, bonne trogne, gueule de travers, déjà plein comme une futaille… les gars lui font un rapport détaillé, et il me fait mon affaire, direct : faut un premier coup de main à toutes les frangipanes qui ne sont pas de la profession, qu’il me dit, ce rigolboche. Haut les cœurs ! et bonne santé, Bonnes-Coudées ! Pour demain le mal de cheveux et la bidoche de guingois, Jack… Hooker ! En attendant…


« O liquides enivrants,
Coulez dans nos gorges longtemps
Assouvissez nos profonds penchants,
De buveurs à l'appendice pendant ! »


Domicile des Trifling.

Il en tenait une bonne, le vieux !… Gibier de potence, qu’il geigne, tu bats une mauvaise marche, t’y feras pas long feu, t’es qu’un voyou… les études chez les Lettreux, par Vénéra ! la carrière, l’avenir, la fortune menacée par les taxes, la respectabilité… toujours les mêmes ritournelles ! Ils en dégoulinent, de l’avenir, ces belles trognes de vainqueurs, ces lève-tôts de la dernière heure, puant de leur littièrature avec lequel ils t’assomment pour avoir voulu, un soir, guigné la vie. Ils gobent ce qu’ils dégueulent quand ils le dégueulent, c’est dégueulasse ! Même lui en soupe, ça le salope de plus en plus. Il baisse, le vieux, il s’agenouille, il supplie… y va p’t’ête finir par ramper, l’animal ! Compte pas sur mézigue pour m’en mettre plein la vue ! Faut voir avec les corbeaux de sacristie et sa pompe, pas avec mézière ! Propab’ que j’en vienne à m’affranchir de ces cons, histoire de me dessaler un peu… comme j’ai aussi lâché les autres de l’étude de maîîître Ducon. Ils sont tous là, à se faire dessus et devant-moi, en marinant dans leur liquide sénescence… des décomposés ambulants, bavassant à qui mieux-mieux, potage de conneries et potaches sans tripes ! Tu déconnes, qu’ils s’inquiètent, tu vas trop loin, tu causes mal, t’as failli nous faire crever, toi et tes « fréquentations »… Crever, eux ? La Carline leur sourit déjà, Horôsis leur prépare déjà le bouillon ! Qu’ils aillent donc au diable, ces « Estrians » !



Domicile des Trifling.

Trois mois que je pourris dans ce trou à rat, pour lorsse que ça se bouleverse en dedans, dans le coffre. Pas le seul, y a de la révolution au dehors… boum-boum-badaboum ! Ca fait des ratés… paraît qu’y a la guerre, ça met la trottante sens dessus dessous : plus un batteur de flemme dans le coin, des macchabés de-ci de-là… j’ai toujours les œuvres d’Aenor que j’ai fauché chez p’tit Louis. Tout le clinquant des quincaillers du grand château me fout la gerbe, mais y a l’aventure… c’est utile, ça fait travailler la folle du Logis, mais ça se fatiguera pas à ta place… tu peux jouer de cette guitare au salonnard, en bonne, en très bonne compagnie… ou bien tu prends ton balluche, sans faire dans le détail, le reste aux chiottes de ton histoire, et tu passes la lourde, tu passes toutes les lourdes qu’il y a dans ce pathelin, dans le continent, dans Odyssée…


Le zephe se lève, il faut tenter de vivre !


Place de la Baie, Jour 18.

Depuis que j’ai jeté la porte à leur nez, je fais de ce calepuche mon petit menteur de poche, desfois que des branleurs voudraient ne pas s’amuser à la moutarde. On écrit que pour sa gueule, faut pas se leurrer… le reste, c’est rimailleries et consolations pour toucher sa petite collation… de la littièrature pour sphinx ! Je vais flairer ailleurs mes bénefs, charrier sur le papelard, c’est du pantouflage… gratis… Poésie ? pouète-pouète… La poésie, c’est les chansons, et les chansons, ça pue de la gueule… Le soupirail du Royaume des Morts vous souffle l’haleine fétide d’un sotto voce tout alangui…


La poésie…
Ca braille des mots dégagés,
Ca graille du mythe paraphé
A tous les pores éclatés,
Chargé de lèvres constellées,

A l’horizon des deux rives et
Des pauvres diables fériés,
Là où se trouve grimé
De mots aux bonnets chamarrés
La poésie…

C’est mirable, ça fait de l'effet pour un coup de pot… mais ça me turbine au gosier ! Trois lustrantes que j’suis sur la daille. Tu parles d’une loupiote à la con… mais hors de question que je refile doux dans le giron de sa mère, foutre !… c’est jeté aux oubliettes, tout ça… oubliées ces gueules cassées, la grisaille de la gerberie, et les gosses de bourge qui se font dessus… reste plus qu’à endroguer, l’air du grand large dans le tubard, ça, au moins, c’est gratis. Frisquet le grand vent… encore heureux que j’y ai fauché ce qu’il faut ! Le matos, c’est ce qui compte : se foutre à genoux pour bigoter une jasante à Faun ou je sais pas quoi, comme le faisaient les vieux de la veille, c’est bon pour les jobards ! La bouffarde du vieux est bonne, ce sera mon seul foyer. L’eustache est bien affutée, mais faudrait encore le faire travailler sur du cuir humain pour que ça vaille. La bavette me gratte, mais faut faire bon chic bon genre pour la rapine…


Place de la Baie, Jour 19.

Si je choppe cette salope, je la ferais crier <…………………………> et le grand grignon, je lui bourrerais le fion de son <…………………………>et les membres en compotaille, à cette heure… <…………………………> avec la gueule d’un griffard ? Cet homme-chat faisait un effet bœuf dans le décorum… <……………………………………………………>1)


Egouts de la Baie, Jour 27.

T’as l’air fin, mon rupin, à faire la roue devant la populace sur la place… Ca valait pas le coup de braquer cette petite gigoulette. Pour se payer la gueule d’une grognasse, icicaille, faut payer ses deux bras et ses deux jambes… Je peux à peine écrire… Et quelle mesclagne au fromager ! Surtout cette tête-de-lard, tout tambours et trompettes, qui nous a bassiné avec ses oignons et ses gueulantes de principe… et ce tapin aussi, pilier de tribunal à ce que j’ai pu entrever… et pis ce rêve éveillé de l’Enfer, une fameuse gosse aux cheveux roux du plus bel effet… c’était quoi son nom au juste ? J’ai complètement perdu mes bras, dans tous les sens de la chose… baste ! Je ne vais pas faire du calepin un compte-rendu de flicards ! Parlant de cognes, je retiens ce lourdaud de rase-terre… et ce rat de palpeur… et cet enfoiré, et cet autre… bigre ! Par Vénéra, je ne vais pas en faire un annuaire ! J’ai pas la carrure pour faire carrière dans cette mine-là. Ce qui se passe dans cette ville n’est pas régulier, j’y reconnais que pouic… j’ai beau y battre l’antiffe, personne ne répond à l’appel. Où sont ces gracieux galants que je suivais au temps jadis, si bien chantants, si bien parlants, si plaisants en faits et en dits ?… Hein ? Vous rappliquez quand, les gars ? y a rien à turbine, on ferme, qu’on vous réplique ! On est plus en pays de connaissance. Et voilà des échos de guerre, des visionnantes de principe, des mémoires d’outre-tombe qui vous creusent des tombes outre-mémoire, et partout le souffre, jusque dans ce ruisseau de merde où je me suis mis à l’ombre depuis une quart de marquet… le mieux, ce serait de défoncer cette grille pour être sûr, à cette heure que la trèppe cherche peut-être2)


Ruelles étroites de la Baie, Jour 36.

Ca m’apprendra à vouloir me trouver des compères gredins. Y a eu deux caves qui ont retapé nif… à l’allure discreto, l’air de sortir d’une mouscaille, spécialistes de la schkoumoune. Der des ders que je me fais amarrer au boniment avec des pleutres qui jouent à la pègre… faire son beurre solo, c’est la règle dans ce foutoir toto. A mes compains du pain rassis ! Compte sur ta pomme, et surtout lâche pas le morceau, sinon t’es foutu !… Et pis ça t’a de ces grioleries ! Comme cette faille dans la réalité, ce truc de nulle part, sur la place de la Baie… quel mic-mac ! Et y avait cette « tête-de-lard », en vérité : Edhrard, qui m’invitait à aller m’y faire foutre avec lui. Vu sa gueule, j’avais bien pigé qu’il était ramolli du ciboulot, mais là ça charrie fort dans la connerie ! et pis merde, je me casserais pas d’ici tant que j’aurai défoncé cette putain de grille ! Les gaules de schtard, faut les péter autant que possible. A mes compains du violon ! Faut qu’il y ait toujours un dehors, ou qu’il y ait plus de dedans et de dehors, c’est pareil, sinon t’es coincé définitif ! Si seulement mes argueusines marchaient recta…


Egouts de la Baie, Jour 38.

J’en ai plein le dos. Plein le dos de l’effluve, de la crotte sur mes nippes… plein le dos de ces barreaux, plein le dos d’avoir la tête comme un compteur… Ras-le-cul de ce bled de dingue !… T’as intérêt à te faire la paire, mon petit père… et qu’ils crèvent tous, pourvu que je vivote ! Lambine, pérennise-toi un peu encore, des chances que t’aurais que tu te fasses connaître enfin par quelque coup d’éclat !


Sur les grands chemins, Jour 39.

Première fois que je sors de la cité. Pas de cabestan, pas de nuiteux… ni de rabouins à l’horizon !… Les gars me l’ont fait à l’oseille, avec leurs godrioles sur les démons de la Fournaise ! Cette bande de cons, ils me mettent le cœur au talon à l’idée que je les reverrai peut-être jamais… pas au point de chialer, mais y a le sentiment, la face décomposée… s’ils crèvent du grand Soir, mort aux cocus !
J’ai potassé le calepuche, et je capte subito pourquoi ce nain au sortir de la targue me revenait pas… C’était lui, l’enflure de tompoucique qui m’a balancé à la gerberie ! Si je le choppe un de ces quatre, il s’en relèvera pas… faut juste que je me défourre un bon calibre pour donner le change…


Au Fort, Jour 47.

Voir une forteresse ruinée vous requinque le moral !… mais pas l’estome, hélas… J’ai bien becqueté du pain noir qui traînait dans la crotte, mais ça goberge pas son homme. Jour sans pain, donc, bon à vivre de l’air du temps. Et quel temps de merde. Des éclaircies, des fois, pas difficile du tout à sentir… suffit simplement de voir des défonceurs de la veuve, et de l’orpheline au pire, être au point de tirer profil bas… c’est-y pas beau, ça ? Chevalier aujourd’hui, vacher demain… Bataille duraille…


Au Fort, Jour 49.

Mes bras ont l’air de s’être bahuté, mine de rien. Je traîne moins la patte, quoque… chocnosogue ! On va reprendre du service, au finisch ! Quand je sorbonne à toutes ces hennes ventrues, ballottées devant moi, l’air de me narguer… je vous mire d’icicaille, mes mignonnes, vous perdez niet pour battre le quart… A l’heure et au pas ! Lâchons-là ce chapitre. Ils ont arrêté de se foutre sur la gueule, à voir les birnes arrêter de monter à la riflette… et pis y avait encore des berlues, je me sentais tout patraque… d’après les gaffes de sorgue du coin, faut croire que ce sont les tours de passe-passe qui ont tiré leur révérence… c’était ça, l’épate ? Je savais même pas que je pouvais faire ça. Hé, n’empêche ! fini le spectacle ! Circulez, y a plus rien à voir !… les grands et les petits manitous remballent leur camelote, les autres se frottent les mimines d’avance.


A la taverne du village de Brumevent, Jour 59.

Toujours pas de quoi jouer de la rapière, toujours pas de maille, toujours pas de briffe, rien de rien, trois fois zéros !… tellement digue-digue que je me suis fait prendre en flag’ par un mirot des chasses, merdre !… faut franchement le faire, mon petit père ! Au finish, c’est quoi ma carrière d’escarpe ?… de la bouffe, l’Artiche, deux-trois bouquins et vingt picaillons… mais je me fais pas trop de bile, je finirais bien par les avoir, les deux mains droites… en attendant, je pige la formule : si un grinche se retape devant tézière un satou à la poque, tu le conirais ou tu le faucherais bein au colas ! Y a que des pétrusquins dans ce manezingue de misère. Deux-trois me reluquent, sales trognes qui lessivent leur soupe à la grimace sans moufter… et y avait aussi un drôle de zigue… C’est ça, les prédas ? Des hubains à la laisse des moinillons locaux ?… tu risques pas d’y voir débarquer les canaques, par les temps qui traînent. Non non, pas du tout dans la note du Rouge-Gorge !… Ambiance ! Ca pue la mort et le petit moi, icicaille, que t’as intérêt à décarrer illico, mon poteau !


Aux abords du château de Brumevent, Jour 70.

Le grand pipet se dresse à l’horizontale, pas bandant du tout. Mais y a du potentiel… je me souviens de l’histoire que me pipotait le vieux Gildas… comme quoi, il aurait bluffé toute la griverie, en solo et avec un abattis en miettes… Tu parles ! Un domicile commac, tu y entres pas en touriste ! Ca se pagave pas, ce truc, ça se bombarde massive avec du calibre de concours et des rebouteux qui en ont !
Le bol alimentaire sourit pas lerche, à cette heure. Ca turbine sec en dedans, turellement… ça marche à vide… je me sens comme une fleur, je vivote de la lanterne et des cordes tendues… probab’ que j’y finirai pendu, mais ça varie pas… les gensses qui te dégoisent la jambe avec leurs bobards sur la pégrenne dans le courant, faut pas leur donner dans le godan… y connoblent pas ce que c’est s’affûter les crochets ! Que des grelots, qu’ils ont !… Et c’est pas un bobard de bouquin, hein ? C’est franche ! Mais y a rien à faire, quand on est con… dring-dring, faut bien briffier dans l’existence… dring-dring, s’en mettre plein la panse pour pas caner… Eh macarelle ! Faut bien mettre sa peau sur la table… le grisbi ? friquetis-friquetas…
Hors le gosier, y a la vue. J’en ai les yeux comme un coucher de soleil, à voir la grande Nature s’esbrouffer… Ca valait qu’on taille sa route, pour débarquer commac en plein dans les nues, avec des drôles d’oiseaux qui te volent dans les plumes, et de quoi bourrer ta boîte à images pour perpet’ ! Et partout Te Danaan pour rostoier le toutim avec les couleurs de l’Avant et les senteurs de l’arrière…


Aux abord du château de Brumevent, Jour 72.

Ayé, j’ai choppé la tremblote… lazi-loffe inmirable … si ça se trouve j’ai attrapé une crevaison. T’aurais l’air bein jobard de clamser d’un rhume de cerveau, hein, mon héros ! Tu arques presto avec doutance, un tas de scrupules dans la botte, à to3)

Vsiiit ! J’ai fais la carpe je sais combien de temps… Ca va pas, j’arrive pas à m’accrocher au balai… ça sens pas bon, ce voile noir… y me reste pas des masses de trèfle, mais faut faire du brouillard plus souvent. Demain le Luisard se lèvera…


Aux abords du château de Brumevent, Jour 73.

Ca va pas mieux. Une éclaircie quoi que ça, une gonzesse vaporeuse sortie de la lampe, comme en un rêve… et une roussarde, quel con, que t’aurais jamais marié avec si t’étais plaquette… on mire dans la vie des occases en simili, mal fagotées, tu peux pas lutter… mais la becqueter du lorgne m’a remis sur les échasses.


A l’orée de la Forêt, Jour 75.

Elle était belle comme la nuitée, ce joli clair de lune. Et pas de lunette en peau de saucisson pour être sûr ! Des nèfles ! Baptisé par mon ange, tout de go ! Le regard vert-de-gris qui porte l’angoisse comme on porte une émeraude dans la chute des reins, — à la mode septentrionale de Balamoun : ça te fait perdre le sud !… vapeur de djellaba, complètement à l’ouest dans le décor : génie du décalage-horreur… le lactescent qui vous fait rêver de décences absolues… tiens, je crois qu’elle a un cul d’abondance, ou alors j’ai déjà de la liqueur d’amour dans les chasses !… Et le nom de la devinette, c’est Erienne, cofficot-barbaricot qu’elle te porte sans barguiner… Hé ! Ris, haine de la nuit ! Ris de l’abject et du médiocre des sages !… Les anges passent et font en trépassant de tézigue des petits confettis, fastoche… faut remoucher qu’elles ont de quoi estamper tous les gogos, tous azimuts ! Sous la peau diaphane, y a du fer riffaudé à blanc, toute une machinerie… et derrière la machinerie, c’est chiné, une autre machinerie… on est deux, fin finale, on est deux mon ange… Hé ris ! haine de la nuit, t’encaisses bernique à poireauter ! Rira bien qui rira le dernier…


Clairière brumeuse, Jour 77.

Le sang a coagulé sur ma caboche, mes nippes virent à l’idéal… et4)


Clairière brumeuse.

Une enflure m’a foué dans la fouaille je suis complètement paumé… Combien de sorgues ? Cinq, dix ? j’arr5)





Frères humains…

Les cordes nous ont rossé la rape,
Tout frais émoulu que ça nous fit,
La <…>pe nous a séchés et noircis
Les chasses que les pies attrapent.

Evêques des champs, p<…….>6)is,
Jamais nul temps ne nous vis assis,
Puis <……> là, au vent qui varie,
A son plaisir sans cesse nous charrie…

Hommes, ici point de moquerie
A la brune<……………
……………………….
…………………………>7)

1)
Des taches de sang séché, de tailles diverses
2)
Le texte s'arrête brusquement ici.
3)
Idem
4) , 5)
Ibid
6)
Tâches de sang. Les yeux plissés, on arrive à lire : “pourris”
7)
Illisible
background/histoires/journal_jack_hooker.txt · Dernière modification : 18/08/2022 08:07 de 127.0.0.1
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